Gifte ter herstelling van de Sint Plechelmus-kerk te Oldenzaal, A° 1628


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GIFTE TER HERSTELLING

VAN DE

Sint Pléchelmus-kerk te Oldenzaal.

A° 1828.

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     De bede om hulp ter restauratie van de collegiale St. Plechelmus-kerk te Oldenzaal en het welwillend fiat daarop, schreef ik af in het Belgisch rijks-archief te Brussel.1 [1. Audience liasse 1310.])
     De deken en het kapittel en de kerkmeesters van Oldenzaal moeten zeker in ’t jaar 1628 gedacht hebben, dat de stad weldra voor goed onder de gehoorzaamheid van zijne katholieke Majesteit van Spanje zou terugkeeren; zoodat ik durf gissen dat bij hunne teleurstelling de 200 ponden van 40 Vlaamsch groot, per jaar; zoo ze eenige jaren lang verstrekt werden; vervolgens tot andere pieuse doeleinden zullen zijn aangewend.
     Ter herinnering wordt hier nog of liever ten goede verstande aangestipt, dat Oldenzaal voor ’t eerst van 1579-1580 werd bezeten en nogmaals tusschen 1597 en 1605 door de Staatschen; om van af 1626, uitgezonderd de jaren 1672-74, voor altijd eene der steden te zijn van een’ der XVII souvereine provincien der roemvolle oud N.-Nederlandsche republiek; namelijk van Overijssel.

A. v. L. S.J.

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A SON ALTEZE SERENISSIME.

     Remonstrent très humblement le doyen et chapitre avecq les marguillers des œuvres et fabrique de l’eglise de St. Plechelm en la ville d’Oldenseel: Que la dicte eglise est l’unique collegiale, fort renommée en devotion et fabricque, entre toutes les autres du pays pour le service de Dieu et honneur de la foy catholicque. Et au dernier siège et prinse d’icelle ville par les Estats rebelles, est il; que ladicte eglise at esté combattue avecq plus de cent coups de canon et plusieurs de mousquets parmy le toict de plomb; de façon qu’elle demeure du tout endommagée, à cause que la partie adverse a faict fort peu de reparations; et sy ce n’est qu’il soit, mis remède; icelle viendra à tomber en totale ruyne, ce que serait au grand prejudice des bons Catholicques. Et comme la dicte reparation ne se pourra faire, moins qu’avecq cinq à six mille florins: pour quel effect, ils n’ont est mains ung seul patart.
En ceste consideration ilz ont prins leur secours vers vostre Alteze serenissime; afin qu’icelle soit servie d’user sa libéralité pour la reparation de ladicte eglise; ce que pourra faire avecq peu de difficulté, appliquant a l’honneur de Dieu les deux cens florins, qu’on y souloit donner, pour la garde, chasque année, de contributions et de continuer la dicte somme jusques à l’entière reparation d’icelle; ou bien par quelque aultre voye que vostre Alteze trouvera convenir. Quoy faisant etc.
     APOSTILLE: Son Alteze ayant oy rapport du contenu en ceste requeste et considéré les raisons y alleguées, at pour et au nom de sa Majesté, par advis de ceulx des finances, donné et accordé, donne et accorde de grâce especiale, par cestes, aux suppliants à l’effect de

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la restauration et reparation de l’eglise, icy mentionnée, la somme de deux cens livres du pris de quarante gros, monnoye de Flandres la livre, par an, a en estre payéz par les mains d’Assuère Hulsing, recepveur des contributions de la Twenthe et Veluwe; et ce, dès deniers à proceder du revenu des assises, maltôtes et aultres de la ville et district d’Oldenseel; dont la moictié doibt suivre au prouffict de sa Majesté, selon convention provisionelle en faicte; le tout par provision et tant qu’autrement sera ordonné. Dont lettres patentes seront dépeschées. Faict à Bruxelles le XXV d’Octobre 1628.

ISABEL.

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– Lommel S.J., A. van (1885) Gifte ter herstelling van de Sint Plechelmus-kerk te Oldenzaal, A° 1628. Archief voor de geschiedenis van het aartsbisdom Utrecht (13), 294-296.

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